Après des études scientifiques bien carrées, ma carrière s’est de plus en plus tournée vers les gens - j’ai travaillé à la Ressourcerie Namuroise - et j’ai trouvé mon grand talent pour le mettre au service de la transmission: le dessin.

Par la facilitation visuelle, je peux transmettre l’essentiel d’un message complexe, y mettre de la chaleur, le rendre accessible pour tous. Il peut s’ancrer dans la mémoire sous forme de photo.

L’urgence climatique, c’est mon dada. Les solutions aussi. Surtout celles qui émanent des gens eux-mêmes au niveau local : simples, intelligentes, accessibles et bon marché. Nous, citoyens, sommes plus puissants que nous ne le croyons. Je suis passionnée par la force du végétal : je reconnais les fleurs sauvages, je plante une forêt nourricière dans mon jardin et j’élève des lapins. Mon rêve pour Floreffe : préserver et réparer ce que nous avons de plus précieux : le terroir et la dignité, dans un oasis vert, vivant et juste.